Il y a quelques jours, j’ai
regardé la bande annonce d’un film intitulé ‘L’Odyssée’. Contrairement à mon
attente, il ne s’agissait pas d’une adaptation cinématographique des aventures
d’Ulysse d’Homère mais d’un film sur le fameux biologiste sous-marin français Jaques-Yves
Cousteau. Le thème a aussitôt fortement attiré mon intérêt, d’un côté parce que
ce personnage m’était jusque-là encore inconnue et je suis fascinée par le
monde sous-marin (entre autres due à la lecture du roman ‘Vingt mille lieues
sous les mers’ dans lequel Jules Vernes s’imagine ce monde encore en majeure
partie inexploré au dix-neuvième siècle), de l’autre côté puisque Audrey Tatou,
qu’on va voir ce semestre dans ‘Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain’, y joue le
rôle de la femme de Cousteau. Je n’ai pas encore regardé ce film biographique qui est sorti en France le 12 octobre 2016 parce que je préfère toujours avoir quelques informations sur le personnage portraituré avant le visionnage. C’est pourquoi j’aimerais ici vous présenter un court portrait de Jaques-Yves Cousteau :
Né en 1910 à Saint-André-de-Cubzac, il est mort en 1997 à l’âge de 87 ans à Paris. Bien qu’il soit essentiellement connu pour avoir fait découvrir le monde subaquatique au grand public à travers ses films et documentaires télévisés, il a également largement contribué au perfectionnement du scaphandre autonome (the aqualung), permettant aux plongeurs de nager librement.
C’est à ses aventures au bord de
son navire Calypso, dont il était le commandant et avec lequel il a parcouru le
globe, qu’il doit son surnom « Le commandant Cousteau ». Ces
explorations forment la base de la série télévisée ‘L'Odyssée sous-marine de
l'équipe Cousteau’ lancée par lui et consacrée à la biodiversité marine, dont l’adaptation
cinématographique de 2016 tire d’ailleurs son nom.
Déjà enthousiasmé pour la mer
pendant son enfance dans les Calanques près de Marseille, il ne cesse jamais d’être
émerveillé par la beauté du monde sous-marin fragile, ce qui est la raison pour
laquelle il cherche à protéger les océans à travers son engagement environnemental.
Après son temps comme qu’officier chez la Marine nationale, Jaques Cousteau se consacre pleinement à sa carrière en tant qu’explorateur océanographique et cinéaste. Son effort est sans aucun doute payant et les distinctions s’enchaînent : Après avoir remporté le premier prix du Congrès du film documentaire pour le premier film français sous-marin ‘Par dix-huit mètres de fond’ en 1943, son documentaire ‘Le Monde du silence’, le deuxième film de l’histoire des prises de vue subaquatiques, décroche la Palme d’or au Festival de Cannes en 1956. En 1965, ‘Le Monde sans soleil’ obtient l’Oscar du meilleur film documentaire.
Après son temps comme qu’officier chez la Marine nationale, Jaques Cousteau se consacre pleinement à sa carrière en tant qu’explorateur océanographique et cinéaste. Son effort est sans aucun doute payant et les distinctions s’enchaînent : Après avoir remporté le premier prix du Congrès du film documentaire pour le premier film français sous-marin ‘Par dix-huit mètres de fond’ en 1943, son documentaire ‘Le Monde du silence’, le deuxième film de l’histoire des prises de vue subaquatiques, décroche la Palme d’or au Festival de Cannes en 1956. En 1965, ‘Le Monde sans soleil’ obtient l’Oscar du meilleur film documentaire.
Un commentaire sur ‘L’Odyssée’
suivra dans les prochains jours…
J’ai utilisé les sources
suivantes :
http://www.economist.com/node/14743394 - image 2
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